Nous sommes agréablement surpris au petit matin de découvrir Malaga dont nous ne savions rien. Picasso y est né et y a vécu mais avant lui les phéniciens, les romains et les arabes y ont laissé de jolies traces de leur culture. Le port de Malaga est tout petit pour la plaisance avec juste des toilettes publiques (très propres) mais pas de douches. Il existe juste à côté une marina privée comme celle de Palma mais bien sûr plus chère. Nous sommes dans le centre ville et juste devant le vieux quartier. Il y a beaucoup à visiter. Après l’école, nous commençons par monter tout en haut d’une colline où se trouve le « castillo de Gibralfar » qui date du 15° siècle et offre une vue sur tout Malaga et ses environs. Puis à ses pieds, la forteresse « Alcazabilla ». Vers la fin de la visite, Pierre et moi retrouvons des patios et salle identiques à celles que nous avions admiré en 2003 en Syrie. C’est avec émotion que nous avons une pensée pour Alep et Palmyre…. Et enfin les beaux vestiges d’un théâtre romain. Le vent s’est bien levé comme prévu. Nous déambulons tranquillement dans les rues puis nous rentrons faire une sieste car les nuits en mer sont fatigantes et surtout nous avons très peu dormi la nuit dernière. De même, le soir nous nous couchons tôt.
Merci pour ces magnifiques photos et commentaires enrichissants qui nous font voyager.
Nous sommes ravis de voir ce beau ciel bleu, car d’après la météo nous pensions que vous risquiez d’avoir du mauvais temps.
Bonne escale et à bientôt!
Nous sommes retournés sur la photo des instruments de navigation.
Vous étiez près de 9 noeuds pour 12 noeuds de vent c’est bien!
Mais 18 noeuds pour 30 ça nous épate! Ca doit être excitant.
Est-ce que le bateau gite?
Comment réagissent les enfants quand le vent fraichit?
Sur le cadran de l’anémomètre le vent vient-il de la pointe de l’aiguille ou du dos? (désaccord entre nous 2!!!)
le vent vient de la pointe de l’aiguille, avec possibilité de voir le vent apparent (vent résultant du vent réel et du vent créer par la vitesse du bateau) et le vent réel.
catamaran = pas de gite quel que soit les conditions de vent ou de mer : c’est top confortable!!! Au portant avec nos 30 noeuds au grand largue et 3 m de houle bien tapée le bateau est super confortable… par contre au près avec 17 noeuds contre la mer, ça bougeait plus…
Les 18 noeuds ont été atteints dans un surf prolongé. toujours au vent portant dès qu’il y’a de la houle le bateau prend toute les vagues et part au surf, on fait souvent des pointes a 14-15 noeuds mais 18 on a tout de suite senti la différence, tout s’est mis a vibrer, c’était assez étonnant (et un peu flippant aussi sur le moment!). C’est d’ailleurs juste après ce surf qu’on a pris le 2ème ris…
Merci pour les infos.
Pour ce qui est du surf, en planche à voile Didier appelle ça les « tapis volants! » et il lui est arrivé de sentir des vibrations engendrées par la dérive.